Artonik - Art de rue
© X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat © X. Cantat
Déambulation dansée nocturne (70 min)

Sangkhumtha : HOPE - 2018

[sañg kum ta] n. Khmer : espoir

L’eau est un trésor inestimable, dont nous reconnaissons la valeur lorsque la sécheresse tarit les puits.
Gaspillée, souillée, elle subit chaque jour la pollution humaine et sa pénurie ou ses débordements n’épargnent aucune région du Globe, en particulier l’Asie.

A travers une promenade processionnelle sinuant comme le Mékong sinue dans les vallées cambodgiennes, Artonik livre une ode sensible aux couleurs de l’Asie où les traditions Khmer côtoient un travail chorégraphique et graphique contemporain.

Sangkhumtha suggère la mort lente des fleuves détournés par les barrages, l’aridité des sols ou encore les kilomètres parcourus pour aller chercher l’eau... et fait résonner le claquement des Geta japonaises sur les pavés.
Sangkhumtha : HOPE est aussi un cri d’alerte sur l’inégalité de l’accès à l’eau dans le monde, conséquence directe du dérèglement climatique...
Et avant tout, une lueur d’espoir.

VISIONNER LE DOSSIER ARTISTIQUE



THÉATRE D’OMBRES ET COLLABORATION GRAPHIQUE
Artonik s’entoure de deux artistes marseillais, Caroline Sury et Craoman, pour proposer un travail original de projection d’images en mouvement, revisitant la tradition ancestrale du théâtre d’ombres khmer.

LE CORPS DANSÉ est au service d’un dialogue des cultures, entre personnages ordinaires de notre époque et personnages inspirés de la tradition Khmer, une alternance entre une danse en prise avec quotidien et d’une autre aux racines ancestrales.

LA MUSIQUE
Il s’agit pour les trois compositeurs et musiciens de Nataraj XT, déjà à l’oeuvre sur The Color of Time, d’accompagner l’action en live, ainsi que l’image projetée et animée comme dans le théâtre d’ombres Khmer.
Leurs compositions allient instruments classiques traditionnels et contemporains joués en direct, sons amplifiés et sonorités naturelles.

Distribution

Mise en scène Alain Beauchet et Caroline Selig

Comédiens-danseurs Pierre Boileau-Sanchez, Sonia Darbois, Jean-Serge Dunet, Sandra Français, Michaël Jaume, Cyril Limousin, Kader Mahammed, Noëlle Quillet, Vladimir Rivera, Lucas Tissot, Julie Yousef
Compositeurs et Musiciens en live Dominique Beven, Philippe Capitani et Laurent Pernice
Collaboration graphique Caroline Sury (les puppets) et Craoman (dessins)
Accompagnement chorégraphique Julie Alamelle

Régisseur lumière Olivier Schwal en alternance avec Olivier Brun
Régisseur son Allan Xavier Affonso
Machinistes Yann Decamps (VJ), Stephan Ripoll
Costumière Anaïs Altot
Constructeurs Sylvain Georget, Daniel Adami et Julo Etievant - HO7 Marseille

Extraits de presse :

Teaser officiel (3 min) © Réalisation Serge Mascret Montage : Wrong Time

Reportage France 3 Annenasse - mai 2018

"L’émotion n’est pas une denrée rare au festival Chalon dans la rue [ ... ] Avec “Sangkhumtha : Hope”, par la Cie Artonik, on est au-delà des larmes. Parce que la disparition récente d’Alain Beauchet, le fondateur de la compagnie et le concepteur de ce spectacle, reste inconsolable. Parce que la chorégraphie de Caroline Selig est étincelante et colorée. Aux couleurs d’Asie. Parce que la troupe nous emporte, tout au long de la nuit, dans une déambulation envoûtante et poétique sur les rives du Mékong. Parce qu’on nous rappelle, et on aurait tendance à l’oublier, que la pénurie d’eau, ressource fondamentale, touche encore plusieurs milliards d’êtres humains."
Thierry Voisin Télérama-Sortir - 22-07-2018

"Et puis, il y a ceux qui étaient déjà grands et qui soudainement sont placés au dessus de tout. Après The Color of time, qui depuis six ans n’a de cesse de transporter les foules de bonheur, la Cie Artonik donnait à voir sa toute nouvelle création, Sangkhumtha : Hope, un trésor ramené d’une résidence de trois semaines au Cambodge. La compagnie y présente une série de tableaux déambulatoires dansés autour d’un propos, la quête de l’eau, ce bien si précieux et si mal partagé sur la planète. Les artistes jouent en intensité de plus en plus poussée, ponctuée d’instants de poésie, guidés par la rythmique contemporaine des instruments traditionnels. Les images d’animaux et de déesses projetées au mur ajoutent de la beauté à l’ensemble ; et la foule conquise, à la fin criait ‘’merci !’’.
L’Humanité - 23-07-2018

"Artonik a une nouvelle fois enthousiasmé le public mulhousien avec sa dénonciation dansée du problème de l’eau sur la planète. Splendide."
L’Alsace - 15-07-2018

« Les trente premières minutes présentées en avant-première démarrent sur une chorégraphie échevelée et déhanchée sur un tapis de déchets jetés hors de sacs plastique. Images de notre monde de la consommation débridée. Présentation très prometteuse »
Zibeline – Mai 2018

VIVRE UN ACTE ARTISTIQUE COLLECTIF

Dans chaque ville traversée, la compagnie Artonik recherche 20 volontaires pour accompagner la déambulation. (voir détail haut de page)

Nous proposerons notamment à 12 personnes bénévoles ou du staff technique de participer à la mise en lumière de la représentation.

Retour sur le projet culturel avec les étudiants du Phare Ponleu Selpak (Cambodge) 3 semaines en octobre 2016


Soutiens

Cette création est soutenue par l’Abattoir - CNAREP de Chalon-sur-Saône, l’Atelier 231 - CNAREP à Sotteville-les- Rouen, les Ateliers Frappaz - CNAREP de Villeurbanne, Le Moulin Fondu - CNAREP en Île-de-France, Lieux Publics - CNCEP à Marseille, Le parapluie - Centre international de création artistique Aurillac, le Pôle Arts de la Scène-Friche la Belle de Mai Marseille, Quelques p’Arts… CNAREP Boulieu les Annonay et Sur le Pont - CNAREP en Nouvelle-Aquitaine à la Rochelle. Cette création bénéficie également d’une aide à la production de la DGCA et de la SPEDIDAM.

Accueil en résidence L’Abattoir - CNAREP de Chalon-sur-Saône, Lieux Publics - CNCEP à Marseille, Le Moulin Fondu - CNAREP en Île-de- France, Sur le Pont - CNAREP en Nouvelle-Aquitaine à la Rochelle, Le parapluie - Centre international de création artistique Aurillac et le Phare Ponleu Selpak à Battambang au Cambodge (avec l’aide de l’Institut Français – convention Ville de Marseille).